Dans un article pour La Tribune, notre coordinatrice régionale Élodie Messéant remet en cause les idées reçues sur les cryptomonnaies, accusées notamment par Bruno Le Maire de favoriser la criminalité sur le Web. En réalité, les transactions illicites réalisées via le protocole blockchain ne représenteraient qu’entre 0,4% et 1,1% des transactions totales, et les plus grosses failles actuelles se trouvent dans le secteur bancaire…

Extrait :

Ainsi, l’usage des cryptomonnaies n’est pas anonyme, mais pseudonyme : il s’agit d’une nuance importante car les transactions peuvent être retracées jusqu’à l’adresse IP, laquelle contient des informations facilitant l’identification des individus (fournisseur d’accès Internet, localisation géographique). Il est donc difficile d’utiliser des cryptomonnaies “sans aucune trace“, contrairement à ce qu’affirme le ministre de l’économie Bruno le Maire. À moins de recourir à des techniques cryptographiques complexes.

Le problème se pose surtout lorsque les fonds en cryptomonnaies sont réinjectés dans les circuits économiques traditionnels. (…)

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