Dans les colonnes de Contrepoints, notre coordinateur Benjamin Faucher estime que chacun est sommé de prendre position dans l’affaire Mila, entre la liberté et la censure, entre la lâcheté et les Lumières de la raison. Extrait :

La garde des Sceaux, voulant probablement appliquer un « en même temps » juridique n’a rien trouvé de mieux que de déclarer « l’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience. C’est grave. » Tant pis pour Voltaire.

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