Dans les colonnes de l’Express, notre coordinatrice Mathilde Berger-Perrin estime que l’écoféminisme, la “déconstruction” ou les quotas, défendus par la candidate écologique Sandrine Rousseau, sont contreproductifs. Extrait :

Sandrine Rousseau, arrivée deuxième au premier tour de la primaire présidentielle d’Europe-Écologie les Verts, s’est distinguée par une radicalité assumée. Toutefois, son usage des théories féministes comme moteur d’un programme politique propose une vision de la femme faussée par l’idéologie, victimaire par essence, et peu efficace pour la cause féminine.

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